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petits chagrins et gros bobo

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petits chagrins et gros bobo
11 février 2008

Je plaide coupable

Bien avant le jugement dernier je fais l'inventaire de mes péchés, je suis l'accusée, l'avocat et le juge ... et après des années de reflexion je peux enfin l'avouer "je suis coupable" je porte sur mon dos mes erreurs et mes fautes, je porte à mon cou ce collier lourd de péchés...aucune thérapie, aucun soin ne pourra soulager mon âme souffrante...c'est ainsi quand on réalise, que l'on comprend et que l'on se repenti, pour se repentir il faut réaliser ces erreurs , mesurer leur gravités , les accepter et s'avouer que l'on est coupable !

Rien n'efface nos erreurs du passé, on peut s'en aller, partir aux quatres coins du monde, changer de vie, d'amis, s'éloigner de sa famille, se colorer les cheveux, se faire refaire le nez, et tirer les traits différement rien , rien n'efface le passé, quand on se retrouve face à soi même, quand on croise son propre regard dans le miroir tout ressurgit. On peut dormir profondément sur ses deux oreilles, il y à toujours des nuits où notre conscience nous réveille, on peut se dire qu'on pas si mauvais puisqu'on s'est amélioré, on oublie jamais celui ou celle qu'on a été !

Cette fille qui s'est battu pour sortir de sa merde et qui brille de milles feux aujourdh'ui n'oublira pas combien elle est tombé bas dans son passé, et celui qui a prit la vie d'un autre même involontairement peut sauver milles vies par la suite il n'effacera jamais de sa conscience "la vie qu'il a prit"

Alors on peut être une ordure puis devenir un bon samaritain, sa n'effacera en rien le mal que l'on a fait!

Et puis on peut se pardonner pour avancer dans sa vie, se dire qu'on a fauté, triché, trahi mais que les circonstances atténuantes étaient là, que depuis on a changé etc. alors oui on vie encore! on est debout! et on s'en est sorti avec nos conneries, nos saletés, on s'est fait une raison pour continuer...

Je suis debout! je vie ! j'avance vers l'avenir...je me pardonne ! et puis au fond c'est une moitié de moi qui avance , l'autre moitié est puni pour ses péchés, l'épanouissement ne sera jamais total...le bonheur ne sera jamais complétement mérité...et mon collier lourd comme un collier de pierres sera toujours pendu à mon cou pour me rapeller que si on a tous droit à l'erreur on sera tout de même tous jugés!

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31 mai 2007

l'homme un éternel insatisfait ou un éternel ambitieux ?

Oui c'est vrai je l'ai dis que l'homme est éternellement insatisfait, d'ailleurs c'est encore une fois en m'égarant dans mon message "la paix en soi" que j'en suis arrivé à cette reflexion. Et c'est bien sûr humain d'en vouloir toujours plus et tout à fait naturel de ne pas se contenter de peu voir très peu mais comme tu l'as dis Val "il ne faut pas tomber dans l'excès sinon car celà nous empêcherait d'avancer" Alors bien sûr il en faut dans la vie de l'ambition, biensûr il faut avoir des buts, des projets et une fois qu'ils sont atteints il faut en trouve d'autres pour se nourrir d'adrénaline, et pour se donner une raison d'avancer mais encore une fois jusqu'où ? Je me suis souvent poser cette question qui est le plus heureux? celui qui en veut toujours plus parce qu'il a des projets, des rêves etc. ou celui qui se contente de très peu et n'attend rien de plus de la vie que ce qu'il a ? Naturellement les projets et les rêves sont parfois accompagnés d'echecs ou de désillusions...mais les autres alors ceux qui se contente de peu ne sont ils jamais décu? et au fond pourquoi ce contente t ils de peu ? peut être parce que pour réaliser des rêves il faut parfois beaucoup de courage, et peut être parce que pour avoir plus il faut déjà renoncer au peu que l'on a ? étrange.... et au fils des mots je pense à ces femmes qui par peur de perdre leur peu de confort ont renoncés à leur rêves, elles les ont enfoui en elles jusqu'à en étouffer la moindre petite voix !

Celles qui ont étouffés en elle le désir d’une autre vie , et si elles ne partent pas est ce réellement pour cette raison que beaucoup donnent "on sait ce que l'on perd mais on ne sait pas ce que l'on aura " Mais comment peut on se contenter d'une vie qui nous satisfait pas? Elles aussi elles avaient sans doute le choix , le choix de rester ou de partir ? pour beaucoup rester est un manque de courage, et pourtant parfois il en faut davantage du courage pour rester…

31 mai 2007

Ce qui ne nous tue pas nous rend t-il plus fort ?

Il paraît d'après Nietzche que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. La vie n'est pas seulement faite de petits chagrins et gros bobos mais aussi de très terribles souffrances, de grands malheurs et de douleurs insoutenables alors d'où nous vient cette force à surmonter des épreuves parfois si difficiles ? Est ce réellement une force qui s'est renforcé en nous à forces d'épreuves ? Ou est ce une force qui nous a été inculqué ? Alors la force est elle innée ou bien apprend t-on à être fort ?

Chacun de nous à une réaction différente faces aux évènements de la vie, il y à ceux qui se décourage devant le moindre obstacle et ceux qui considèrent chaque obstacle comme un nouveau défi de la vie. Alors en fonction des épreuves à surmonter, des épreuves avec des différents degrés de gravité chacun de nous cherche en soi la force de se battre. Et c'est bien çà qui étrange prenons deux situations différentes dans la première une personne est touché par un drame horrible, une souffrance terrible (je ne citerai pas d'exemple précis volontairement) et dans la deuxième situation une autre personne doit surmonter elle aussi une épreuve difficile mais moins terrible que la première et pourtant cette deuxième personne se laissera aller, baissera les bras... tandis que la première se battra coûte que coûte pour reprendre le dessus. Qu'est ce qui fait la différence entre la force de chacune ? L’éducation qu'elles ont reçue? Leur passé, les épreuves qu'elles ont vécues? Ou simplement leur personnalité ? Etrange... et pourtant il est vrai qu'à chaque épreuve surmonté on se sent plus fort, plus courageux... mais pour surmonter ces épreuves là il faut bien en avoir de la force en soi, est - ce une question de sensibilité ? Certains sont ils plus sensibles que d'autres et donc moins fort? Ou bien est - ce en fonction de ce que l'on a pour se rattacher à la vie? Par exemple une femme qui a un enfant et qui perd son mari sera t elle forcément plus forte pour son enfant ? Il le faut évidemment... mais est ce plus simple que pour celle qui n'a pas d'enfants ???

Mais peu importe la réaction de chacun nous n'avons aucun jugement à porter puisque comme la dit quelqu'un " Il n'y à pas de petite douleur pour celui qu la ressent "

28 mai 2007

Au nom de la liberé j'ai choisis la solitude

J'ai 74 ans et dans mon esprit j'écris la dernière page de ma vie, cette vie que j'ai voulu libre et indépendante ! Je l'ai choisis cette vie, je l'ai imaginé passionné, je l'ai dessiné pleine de charme, pleine d'amour et de joie, de la joie oui, de la fête aussi mais de l'amour juste ce qu'il faut, jamais trop, jamais assez ne former qu'une seule personne à deux !

Non deux c'était déjà trop, après on se serait multiplier, on serait devenu une famille, et une famille c'était trop pour moi, alors je ne 'ai pas voulu cette vie à deux, j'ai préféré fuir... préféré te quitter pensant qu'une autre te correspondrait mieux. Tu le savais bien la vie de famille, les bébés, les biberons et les réunions du dimanche n'étaient pas pour moi, tu as cru que je changerai mais tu t'y es trompé, non on ne change pas ce qu'il y à de plus vrai en nous, on éteint pas un feu qui brûle au plus profond de notre cœur, alors je t'ai quitté au nom de la liberté... m'as tu pardonné? Je ne le saurai sans doutes jamais tant d'années se sont écoulées... des années pendant lesquels j'ai couru après mes rêves, j'ai pourchasser la passion, et j'ai vu chaque instant avec ardeur, j'ai voyagé, fais le tour de la terre, rencontré des gens merveilleux vécues des moments inoubliables, comme c'était bon de se sentir libre, de ne pas avoir d'attaches, de ne dépendre de personnes seulement de ses propres envies ! Alors tu vois c'était bien vrai si ce n'était pas toi sa n'aurais été personne d'autres et en effet personne ne m'a donné le goût de la vie NORMALE, et je n'ai jamais rencontré un homme qui m'est donner l’envie de cesser ma course folle, mais c'était impossible tu le sais, tu avais peut être raison, ce n'était pas la passion qui me faisait courir si vite mais peut être bien la peur, la peur de quoi ? La peur de l'ennui? La peur que chaque jour se ressemble? La peur de ne jamais être assez bien pour donner la vie à un enfant ? Oui c'était un métier difficile d'être mère et sans doute le plus beau, mais j'avais déjà renoncer ! L'envie d'une liberté infinie avait eu raison de moi, et j'avais opté pour la passion... qu'aucun jour ne se ressemble, et que chaque matin annonce une journée de découverte, nouveau lieu, nouvelles rencontres, nouvelles adrénalines et aventures... années après années je l'ai dévorée cette vie que je voulais pleine de rebondissements... années après années... et aujourd'hui ? Aujourd’hui j'ai 74 ans, j'ai fais le tour des souvenirs, j'ai tout revu dans ma tête et j'ai compris qu'au nom de la liberté j'avais choisi la solitude... puisque que les années Passées, la jeunesse terminer, la passion s'atténue, et les hommes qui passent, qui vous touche et vous donne un peu de bonheur ne vous laissez rien quand il y à pas d'amour... et quand l'âge n'était plus aux soirées folles, et quand avec les rides qui se forment sur notre visage, le corps ne suit plus les interminables voyages... quand bien même dans son cœur on voudrait encore avoir 20 ans mais que le miroir reflète cette femme de 50 ans que la vie n'épargne pas de blessures même quand on a Voulu fuir les conflits. C'est alors ainsi année après année que bien malgré moi je vieillissais... et que personne n'était resté à mes côtés pour me tenir la main, puisque je ne l'avais jamais voulu cette main... Alors mon Amour, ce soir je peux t'appeler ainsi puisque à 74 ans je pense avoir assez mûri... dis-moi-toi qu'as tu fais de ta vie? as tu une femme près de toi le soir quand la peur de la fin de cet éternel combat qu'on appelle la vie te guette? Et chaque matin peux tu trouver la force dans son regard ? es tu entouré toi par des joies d'enfants et de petits enfants ? Alors après inventaire des années qu'est ce que tu possède de vrai dans ton cœur ? ... et puis dis-moi quand je t'ai parlé de liberté il y'à un demi-siècle savais- tu au fond de toi... qu'au nom de la liberté j'allais surtout y récolter la solitude... ?

20 mai 2007

la paix en soi

La vie est un long chemin est notre naissance est notre premier pas, peu importe où nous sommes née, dans quelle contexte ou quelle famille, peu importe le pays ou la ville chacun de nous somme une personne à part entière avec des sentiments, des émotions, des craintes, des peurs, des doutes, des joies et des peines. Et parmi nous tous il y à ceux qui se laisse porter qui survivent plus qu'ils ne vivent et ceux qui croient se prendre en main, réaliser des rêves, atteindre des buts et chercher le bonheu, l'accomplissement de soi.

L'accomplissement de soi est un long travail qui se crée de toutes pièces tout a long de la vie, e peu importe comment nous pensons tous y parvenir nous ne cherchons qu'une chose être bien dans sa vie, bien dans sa tête et son corps. Mais pouvons nous tous y parvenir? être soi même avec ses désirs, ses rêves et ses volontés est il donné à tous ? Ne dépend t il pas de l'éductation, des oppotunités et d'une bonne étoile ? et au final pourquoi être heureux est il si compliqué ?

Pourquo dit-on ue le bonheu n 'existe pas mais qu'il y à juste des bons moments ? et pourquoi sommes nous des éternels insatisfait ? celui qui a l'amour veut la passion, et celui qui vit la passion veut l'amour ? celui qui possède le rouge rêve du noir , et à l'inverse celui a le noir voudrait le rouge !

L'homme reste alors un éternel exigent, insatisfait et compliqué.

Maisle bien être le vrai est dans la tête, et la paix en soi est soit acquis dans le ventre de sa mère soi jamais.

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1 mai 2007

sommes-nous réellement maître de notre vie?

Nous sommes à ce jour 6 611 823 202 personnes sur a terre, éparpillés dans le monde entier, chacun de nous est un souffle de vie, un coeur qui bat, un être humain avec ses douleurs, ses blessures, ses joies et ses peines. Chacune de ces vies est différentes, si l'on se penche se la terre comme sur une fourmillière on pourrait voir toute cette population s'agiter dans tous les sens et on se rendrait compte des différences, des inégalités. "Dans ce coin là de la terre je vois une jeune fille de 15 ans s'enfermer dans sa chambre malheureuse parce que ses parents ne l'ont pas autorisé à aller à "la soirée de sa vie "et puis un peu plus loin mon regard s'arrête sur une autre jeune fille elle doit avoir à peu près l'âge de la première mais son soucis est tout autre et son chagrin plus difficile à consoler, puisque qu'il y à une heure elle a été violée. C'est ainsi en laissant mon regard parcourir la terre, que mon attention à été attiré par cette enfant, si peu vêtue et tellement amaigri quel âge a t elle ? 5 ans? 8 ans ? Je ne saurai pas le dire mais son visage est triste et la peur se lie dans son regard, c'est peut être à cause de ces cris qui éclatent autour d'elle ou peut être à cause de ces bombes qui ont détruit sa maison et emportés ses parents. Mais à regarder la terre de cette façon je n'ai pas pu m'arrêter sur tous les enfants qui pleuraient, il y en a tant. La misère pour cerains l'adolescence pour d'autres, ainsi chacun de nous à vue le jour dans un pays différent, dans une famille différente pour certains, sans famille pour d'autres et chacun de nous à eu son premier souffle de vie dans un contexte différent. Drap de soie pour certains, misère et malheur pour d'autres. Mais alors sommes-nous maître réellement maître de nos vies? ou avons-nous seulement une destinée tracé d'avance?

Et si tout était tracé ? Alors nos choix n'ont - ils aucun intérêt? Les chemins que nous empruntons, les décisions que nous prennons n'ont - ils aucune influence sur notre vie? Ce qui doit arriver arrivera t -il tout simplement? Pourtant dans les pays développés nous avons souvent le sentiment de contrôler notre vie, d'avoir une certaine liberté d'agir, la liberté de choisir... le confort que nous avons nous rend de plus en plus exigeant à la limite d'être capricieux, mais je minimise pas pour autant les chagrins que chacun de nous peut avoir! Biensûr il n'existe pas de petite douleur pour celui qui la ressens, en tant qu'être humain nous avons tendance à voir ce qui est mieux chez les autres et à fermer les yeux sur ce qui est pire ailleurs! Qui n'a pas un jour répondu à son enfant" arrête de te plaindre il y a des enfants qui n'ont même pas à manger" et pourtant nous même adultes nous sommes parfois difficile à satisfaire.

La satisfaction est elle alors forcément matériel? Non biensûr, mais le bonheur semble si compliqué à atteindre que parfois nous remplissons notre vie avec des petites choses, des "autres" petits plaisirs et souvent des choses éphémères qui au final n'auront été qu'apparence.

Au fil des mots je mesuis égaré, oups ! Rien de tout celà ne répond à la question qui m'a inspiré à reprendre ma plume (mon clavier en 2007) "sommes nous réellement maître de notre vie?" et en meme temps qui peut y répondre ? La vie avec ses hauts et ses bas est bien différente pour tout le monde, il y à ceux qui se prenne en main, ambition, motivation, ils ont des rêves etferont tout pour y parvenir et puis il y en à d'autres née sous de moins bonnes étoiles qui n'auront même l'occasion de rêver, parce qu'il n'y a rien rêver entre la poussière, la pauvreté et la misère...

Mais bien loin de la pauvreté il y a ceux qui pensent rêver et qui croient réaliser leurs rêves, ah l'argent c'est si bon d'en avoir et tellement déçevant de se rendre compte que tout ne s'achète pas ! J'ai rencontré il y à quelque temps un homme qui me disait " J'ai tout ! Vus voyiez çà là-bas c'est à moi ! et ce immeuble aussi , et çà et çà et çà ...! Oui j'ai fais de ma vie l'argent et de l'argen ma vie! J'ai tout! Tout ce que j'ai voulu ! Tout ce dont j'ai rêvé ! Tout ! Mais ... je suis si seul.." Etranger sentiment que dégageait cet homme si fier de ses richesses et tellement triste dans son regard .

Alorsd'un regard extérieur il est si si^mple de juger " ah mais il avait qu'à faire çà ou çà" et puis " c'est sa faute " etc... Cà me rapelle uen reflexion que j'ai entendu un jour quand j'étais lycéenne sur les mariages "arrangés" ("forcés"pour ceraines) "Bah elle avait qu'à dire NON " (ah oui parce qu'on lui a demandé son avis?) ou encore "pff elle pouvait partir !  Elle a choisi de rester c'est sa faute" C'est tellement facile de parler, d'immaginer sans avoir vu, de juger sans avoir vécu ! J'estime qu'on ne peut pas juger sans avoir vécu le contexte, qu'on ne peut juger une douleur sans l'avoir ressentie ni même immaginer guerrir une blessure sans l'avoir vu ! Qui peut se dire assez puissant pour voir dans le coeur d'une personne et juger ce qu'elle a fait ou ne pas?

Alors sommes nous réellement maître de notre vie ? Bien que certains n'aient pas la liberté d'agir, ceux qui l'ont , prenne t-ils réellement des décisions influençant leur vie ou tout reste t-il entre les mains du destin...?

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